Dans la plupart des cas, si cela est possible, il faudra pratiquer une préeoxygénation. Celle-ci peut se faire de manière passive ou active.
Les dispositifs de monitorage et les prérequis étant remplis, l'intubation est alors réalisée selon la technique orotrachéale sous laryngoscopie directe, la technique est détaillée sur cette page.
Après deux tentatives, il convient de remettre en cause sa technique.
Si aucune faute technique n'est à corriger, la première alternative (qui peut être envisagé dès la première laryngoscopie) et l'utilisation d'un mandrin long aussi appelé bougie creuse.
on peut, si l'on en dispose, utilisée également des laryngoscope spéciaux, parmi eux on peut citer
Il est primordial de toujours garder à l'esprit l'état hémodynamique et d'oxygénation du sujet. En effet même après une préoxygénation correcte, va arriver le temps de date désaturation du patient. il conviendra donc de toujours adapter sa technique à l'oxygénation du patient. Lorsque celle-ci est compromise, elle devient prioritaire par rapport à l'intubation.