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la difficulté principale lors de l'intubation est le plus souvent une difficulté d'espositionL'intubation difficile reste une problématique commune en anesthésie, réanimation et médecin d'urgence
En SMUR (Enquête nationale sur la prise en charge de l’intubation difficile en médecine d’urgence préhospitalière , AFAR Vol 28, 302- 306, 2009)
Enquête déclarative 52 %
En anesthésie, la difficulté d'abord des voies aériennes reste la seconde cause de mortalité (Enquête SFAR INSERM 1996 )
Les données
La fréquence estimée varie en fonction du type de chirurgie
Une des principales causes de variation des résultats est le fait qu'il n'existe pas de définition standardisée de l'intubation difficile
| Cormack | pourcentage d'intubation difficile | |
| Plusieurs essais et/ou lames | II ou III | 1 à 18 |
| Plusieurs essais et/ou lames et/ou opérateurs | III | 1 à 4 |
| Echecs : intubation impossible | III ou IV | 0,05 à 0,0035 |
| cicv, séquelles ou décès : abord transtrachéal, JVHF | 0,0001 à 0,02 |
| Technique (et nombre) | Cormack | pourcentage |
| sans compression laryngée (n=431) | > II | 9,3 |
| Avec compression laryngée (n=202) | > II | 5,9 |
| avec compression laryngée (n=778) | > II | 1,6 |
en préhospitalier, les études montrent :
Adnet F, et coll. Anesthesiology 1997;87:1290-7
| Score IDS | Population hospitalière n = 289 | Population préhospitalière n = 311 |
| score = 0 | 53% | 28,2% |
| score > 5 (IDS) | 6,3% | 16,1% dont un cas d'intubation impossible |